L’Allemagne est souvent vue par certaines de nos élites politiques et journalistiques comme un exemple à suivre. Et c’est vrai qu’en matière d’industrie, elle a su faire face aux dangers de la mondialisation. « Faire face », que dis-je ? Elle a su en profiter, plutôt. Par des choix pragmatiques, un jeu d’influence que n’ont pas toujours déjoué ses alliés, elle a bâti une industrie puissante.
Le commerce extérieur allemand connaît un léger déclin
Mais voilà, la guerre en Ukraine est arrivée, remettant en cause plusieurs fondamentaux de sa réussite. Les plus critiques prédisent qu’elle ne s’en relèvera pas. Les plus admiratifs annoncent un défi que sa capacité d’adaptation ne tardera pas à surmonter.
En attendant, voici le résumé d’un article intéressant que les Echos consacre au sujet. J’ai demandé à ChatGPT de vous résumer. Oh, hé ! C’est les vacances hein ?!? Donc ça va…
Bon, j’ai un peu amélioré la prose du robot. J’y ai mis quelques blagues pour m’assurer que vous lisiez bien.
Le commerce extérieur allemand connaît un léger déclin. En juin 2023, les exportations de biens fabriqués ont diminué de 2 % sur un an.
La baisse est plus prononcée dans les ventes à la Chine, où la reprise post-Covid ralentit. Les chiffres exprimés en euros courants et l’inflation élevée annoncent des évolutions moins favorables en volume.
L’Allemagne affiche un excédent commercial de 95 milliards d’euros pour les six premiers mois de l’année. Donc pas si mal (ça c’est pas ChatGPT qui l’écrit). Les exportations augmentent de 3,5 %. Mais l’excédent est surtout dû à une diminution des importations (4 %). Il ne reflète donc pas une économie dynamique, mais plutôt une demande intérieure stagnante en raison de l’inflation.
Concurrence mondiale : les exportations allemandes soumises à des défis majeurs
Les entreprises allemandes anticipent une réduction de leurs exportations dans les mois à venir. Ceci en raison de la politique monétaire restrictive des États-Unis et de l’Europe.
Les secteurs de la construction mécanique et de l’industrie électrique sont particulièrement touchés. L’économiste Carsten Brzeski estime que les exportations allemandes demeurent atones et que le commerce extérieur n’est plus le moteur de croissance habituel. On est d’accord, personne ne connaît ce mec, mais j’ai trouvé que ça faisait chic de le citer.
Les défis s’aggravent avec la croissance plus lente de l’économie chinoise, qui concurrence de plus en plus l’Allemagne sur des produits similaires. Le déficit commercial avec la Chine s’est accentué ces dernières années. De plus, la concurrence des fabricants chinois de véhicules électriques et les subventions américaines aux industries ajoutent à ces problèmes.
Les capacités productives allemandes reculent progressivement dans les secteurs industriels et automobiles. Maintenir sa place de puissance industrielle et exportatrice mondiale redevient un enjeu majeur pour notre grand voisin.