« Nous l’avons abandonnée, critiquée, délaissée : il est temps de réhabiliter l’usine »
C’est la tribune très remarquée que signe Gilles ATTAF , président d’origine France Garantie, cocréateur du Club Forces Françaises de l’Industrie Françaises de l’Industrie, fondateur de Belleville Manufacture dans Marianne.
Extraits :
– « J’ai une fascination pour l’usine. Pour moi, ce n’est pas un gros mot, c’est ma madeleine de Proust, mon univers. »
– « L’usine résonne plus souvent comme le monde d’Émile Zola, une usine de la misère, de la pénibilité, du déclassement. »
« Oui c’est un lieu formidable où l’on peut s’épanouir »
– « C’est pour lutter contre cette image faussée et péjorative que je m’engage depuis mes 19 ans et que je dédie et dédierai toute mon action à l’attractivité de l’Usine avec un grand U. Le U de l’Union des femmes et des hommes pour la renaissance d’une industrie fière d’elle-même. Une industrie du lien par le travail, une industrie de l’ascension sociale. Oui : l’usine est un lieu formidable où l’on peut s’épanouir »
-« Il est temps de la réhabiliter. C’est la raison de mon combat ».
« Nous devons absolument la soutenir et la réhabiliter »
– Faire une déclaration d’amour à l’usine n’est donc pas une question de rhétorique ou un simple élan lyrique : c’est du bon sens économique, la conviction profonde que l’industrie est un outil de souveraineté nationale et de dynamisme économique majeur et qu’il faut absolument que nous, consommateurs, entreprises et pouvoirs publics, la soutenions et la réhabilitions.
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