C’est ce qu’a choisi de faire Kadia SYLLA MOISSON, fondatrice du Le Club des Diasporas Africaines de France et Amis de l’Afrique.
Stratégie d’industrialisation et de réindustrialisation : une opportunité de collaboration entre l’Afrique et la France
Kadia nous propose, à nous FFI, de nous associer à un événement que les entrepreneurs qui pensent que l’Afrique est une chance pour la France ne devront pas manquer.
Il s’intitulera « Stratégie d’industrialisation et de réindustrialisation : comment l’Afrique et la France peuvent s’entre-aider. »
Elle co-organise aujourd’hui la JIFA : Journée Internationale de la Femme Africaine à l’UNESCO où plus de 300 personnes dont de nombreuses personnalités sont attendues.
Donc, autant vous dire que cet événement sur l’industrie aura de l’impact.
Kadia n’est pas une inconnue de nos réseaux. Elle est Déléguée Générale des Forces Françaises de l’Industrie en charge des liens avec les entrepreneurs issus de la diaspora africaine de France.
Construire des ponts entre l’Afrique et la France, une vision inspirante pour les entrepreneurs
Dans le vacarme du moment, on oublie parfois que des forces puissantes et silencieuses nous rapprochent. Kadia en est l’illustration.
Depuis des années, elle insiste sur ce que les entrepreneurs français ont en commun, dans leur diversité. Lors de chacun de ses événements, elle célèbre ceux qui réussissent, ceux qui contribuent, ceux qui incarnent nos valeurs communes et nos unions heureuses.
Nos membres FFI Florence AKOGBEKAN qui fabrique ses chaussures en France, Lahou Keita qui innove dans l’aviations civile ou Mahi TRAORE qui forme les futurs talents de nos industries via le lycée professionnel qu’elle dirige, ont quelque chose à voir avec ça.
Parce qu’elle sait que nos destins sont liés et que l’Afrique et la France ont tant à construire ensemble, elle renforce inlassablement les ponts entre nos cultures, nos entrepreneuses, nos entrepreneurs, nos savoir-faire.
Elle sait que ce sont les gens qui font, bien plus que ceux qui disent, qui peuvent rapprocher nos mondes, nos marchés, nos familles. Alors, elle les met en valeur et transforme leur expérience en bouffée d’inspiration collective.
Parce que les entrepreneurs que nous sommes se doivent d’avoir une vision positive de l’avenir, il est important de garder en mémoire ce que nous bâtissons.
Alors Kadia pour l’UNESCO et à bientôt avec les FFI !